Réduire l’exposition des travailleurs aux gaz, odeurs, poussières et agents pathogènes humains présents dans les bâtiments porcins Résumé Les éleveurs de porcs sont quotidiennement exposés à d’importantes quantités de gaz, d’odeurs, de poussières et de bioaérosols. Ils risquent de développer des problèmes respiratoires ou des maladies infectieuses. Ce risque est lié au nombre d’heures passées à l’intérieur des bâtiments d’élevage et à la concentration des différents contaminants. Plusieurs technologies permettent de diminuer les concentrations de gaz, d’odeurs et de poussières à l’intérieur des bâtiments, mais il n’y a pas de donnée sur la réduction des bioaérosols.Cette recherche évaluera quatre technologies, utilisées seules ou en combinaison, pour jauger leur efficacité à réduire le gaz, les poussières, les odeurs et les bioaérosols dans les porcheries, afin d’identifier la meilleure. Ces technologies incluent un nouveau concept de lattes pour le plancher, la séparation à la sciure des phases liquide et solide des lisiers, l’aspersion d’huile et la filtration de l’air sortant du bâtiment. Du même projet Rapports scientifiques Réduire l’exposition des travailleurs aux gaz, odeurs, poussières et agents pathogènes humains présents dans les bâtiments porcins Rapport de recherche : R-1074 Conférences et reportages Réduire l’exposition des travailleurs aux gaz, odeurs, poussières et agents pathogènes humains présents dans les bâtiments porcins Conférence : CF-1074 Autre(s) projet(s) pouvant vous intéresser Exposition professionnelle aux agents d’infections nosocomiales en milieux de soins: mieux comprendre et contrôler la voie de propagation par aérosolsImpact sur la qualité de l'air et la santé des travailleurs de logements alternatifs pour les poules pondeuses Informations complémentaires Type : Projet Numéro : 2014-0058 Statut : Terminé Année de fin du projet : 2019 Champ de recherche : Prévention des risques chimiques et biologiques Équipe : Stéphane Lemay (Institut de recherche et de développement en agroenvironnement)Caroline Duchaine (Centre de recherche Institut universitaire de cardiologie et de pneumologie de Québec)Stéphane Godbout (Institut de recherche et de développement en agroenvironnement)Matthieu Girard (Institut de recherche et de développement en agroenvironnement)