Montréal, 25 octobre 2019 - Le directeur scientifique de l’IRSST, Kannan Krishnan a remis deux prix Acfas IRSST Santé et sécurité du travail, d’une valeur de 5 000 $ chacun, à deux étudiantes à la maîtrise et au doctorat. Depuis sept ans, en collaboration avec l’Acfas, l’Institut remet ces prix pour souligner l’excellence de la relève de chercheurs en santé et en sécurité du travail (SST).
Andréia Matta-Dias
Caroline Duchaine
Le prix ACFAS IRSST Santé et sécurité du travail-Maîtrise a été remis à Andréia Matta-Dias, étudiante au Département de médecine sociale et préventive de la Faculté de médecine de l’Université Laval. Sa recherche examine l’effet d’une exposition cumulée à des contraintes psychosociales au travail sur le mal de dos chez les cols blancs.
Le prix ACFAS IRSST Santé et sécurité du travail-Doctorat a été remis à Caroline Duchaine, doctorante au Centre de recherche du CHU de Québec-Université Laval. Sa recherche vise à évaluer l’effet des stresseurs psychosociaux sur la fonction cognitive d’une grande cohorte de travailleurs dans le contexte particulier du vieillissement de la main-d’œuvre.
« Je félicite chaleureusement les deux lauréates pour l’obtention de ces prix et je les encourage à poursuivre leur carrière de chercheuses en SST », a précisé Kannan Krishnan, le directeur scientifique de l’IRSST.
« À titre d’organisme subventionnaire, l’IRSST déploie des mesures et des programmes pour contribuer à la formation de jeunes scientifiques prometteurs. En plus de son programme de bourses d’études supérieures et de formation postdoctorale, ces prix soulignent l’excellence des travaux réalisés et constituent un moyen supplémentaire pour soutenir les jeunes scientifiques à poursuivre leurs recherches dans le domaine de la SST », a déclaré Lyne Sauvageau, présidente-directrice générale de l’IRSST.
Les Prix ACFAS IRSST Santé et sécurité du travail
Attribués à des étudiants à la maîtrise et au doctorat, ces prix soulignent l’excellence de leur dossier pendant leurs études universitaires ainsi que la qualité de leur projet de recherche.
– 30 –
Source :
Maura Tomi
Conseillère en communications