IRSST - Institut de recherche Robert-Sauvé en santé et en sécurité du travail

L’ÉTS souligne l’expertise de l’IRSST

  • 17 avril 2019

Photo Gala Excellence ÉTS De gauche à droite : - Cédrick Pautel, directeur général par intérim et secrétaire général, ÉTS; - Jérémie Voix, professeur au Dép. de génie mécanique, ÉTS; - Frank Sgard, chercheur à l’IRSST et professeur associé à l’ÉTS; - Charles Despins, directeur des affaires professorales, de la recherche et des partenariats, ÉTS; - Olivier Doutres, professeur au Dép. de génie mécanique, ÉTS.

Montréal, le 17 avril 2019 –  Lors du Gala Excellence ÉTS de l’École de technologie supérieure, qui a eu lieu le 8 avril dernier, l’Institut de recherche Robert-Sauvé en santé et sécurité du travail (IRSST) s’est vu décerner la mention de « Partenaire d’excellence en recherche-innovation ».

Cette mention vient souligner la collaboration exceptionnelle entre l’IRSST et l’ÉTS à la poursuite d’activités conjointes de recherche. Ainsi, depuis plusieurs années, les deux institutions collaborent fréquemment sur divers projets d’envergure, notamment le projet Développement d’une panoplie d’indices de confort pour les bouchons d’oreille afin d’améliorer la protection auditive des travailleurs, dont l’importance a été soulignée au cours du gala. Au total, 11 projets de recherche sont en cours entre l’ÉTS et l’IRSST.

« L’IRSST est fier de faire partie des collaborateurs récurrents de l’ÉTS. Il est indéniable que la collaboration entre les chercheurs des deux organisations fait avancer la recherche en santé et sécurité du travail, en plus de contribuer au rayonnement de l’Institut », mentionne Marie Larue, présidente-directrice générale de l’Institut. En plus de l’ÉTS, l’IRSST collabore avec de nombreuses universités et centres de recherches au Québec, au Canada et à l’international.

Les chercheurs de l’IRSST et ceux financés par l'Institut réalisent des études et contribuent à l’avancement des connaissances en matière de prévention des lésions professionnelles et de réadaptation des travailleurs qui en sont victimes.

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Source

Noémie Boucher

Conseillère en communications

IRSST