Un test utilisant des cellules animales vient d’être mis au point pour évaluer la qualité de l’air dans des environnements contaminés par les bioaérosols telles les porcheries, les fermes laitières, les tourbières, les scieries, etc. Pour y parvenir, des chercheurs ont utilisé des cellules dendritiques de souris pour estimer l’importance des composantes des bioaérosols (bactérie, virus, moisissure…) qui sont associées à l’inflammation des voies respiratoires, à l’asthme professionnel ou à la bronchite chronique.
Ce test, qui favorise le classement de divers environnements de travail selon leur état sanitaire, devrait permettre une amélioration de la santé respiratoire des travailleurs exposés à des particules aéroportées.