Une étude exploratoire dans deux usines de biométhanisation des matières organiques putrescibles (MOP) démontrent que les travailleurs sont exposés à des microorganismes dont la concentration excède les valeurs guides de référence et dont le diamètre, inférieur à 5 microns, leur permet de pénétrer profondément dans le système respiratoire. Selon les chercheurs, une exposition à long terme pourrait hausser le risque d’affections respiratoires.
Il est recommandé aux travailleurs qui manipulent les MOP, en particulier à ceux qui œuvrent dans les aires de réception et de traitement, de porter des équipements de protection respiratoire et cutanée autant l’été que l’hiver.