À l’aide des dossiers d’indemnisation de la CSST et de modèles mathématiques qu’ils ont conçus, des chercheurs ont voulu explorer le lien entre les hausses des températures estivales et les concentrations d’ozone, et l’augmentation du nombre de lésions professionnelles. Pour ce faire, ils ont identifié les problèmes de santé qui étaient dus à une exposition à la chaleur ou à l’ozone, de même que les accidents de travail s’étant produits l’été au Québec entre 1998 et 2010. En tenant compte du lieu où avaient été enregistrées ces lésions professionnelles dans les 16 régions sociosanitaires du Québec, les chercheurs les ont associées aux relevés de température effectués chaque jour par Environnement Canada. L’objectif était de documenter les associations entre la température estivale et les concentrations d’un polluant atmosphérique, l’ozone au sol, et les lésions professionnelles indemnisées, ce qui n’avait jamais été réalisé au Québec.
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