La présente étude s’intéresse aux travailleuses et travailleurs des services de protection de l’enfance exposés de manière répétée à des événements potentiellement traumatiques (EPT) dans le cadre de leur travail, notamment des actes de violence.
Ces personnes sont ainsi susceptibles de développer des problèmes de santé mentale tels que l’anxiété, l’insomnie, la dépression et des symptômes de stress post-traumatiques. Sur le plan professionnel, ces EPT engendrent des coûts élevés pour l’individu et l’organisation.