Sous la terre, l’environnement comporte des obstacles et la nature des activités, son lot d’aléas, même si, au Québec, beaucoup de chemin a été parcouru en matière de contrôle des risques. Les travailleurs miniers sont exposés notamment à de la poussière, à des vibrations et à du bruit, et ce, dans un milieu humide. À cela s’ajoutent la menace de chutes de pierres et les postures contraignantes et l’opération de machinerie lourde. L’IRSST a publié des résultats de recherche sur ces questions. Il a aussi documenté l’intégration des nouveaux travailleurs dans ce milieu et le transfert des connaissances.
Bruit et vibrations
Sécurité des cheminées à minerai et à stérile
Question sécurité, deux guides ont été publiés sur les cheminées à minerai et à stérile et ont fait l'objet d'un article de magazine Prévention au travail.
Intégration sécuritaire des nouveaux travailleurs
Alors qu’ils allaient entreprendre une étude exploratoire sur les conditions facilitant l’intégration sécuritaire des nouveaux travailleurs dans le secteur minier, des scientifiques de l’IRSST en ont profité pour instaurer des conditions facilitant le transfert des connaissances qui en découleraient vers les milieux de travail. Si ces deux sujets vous intéressent, l’intégration et le transfert des connaissances, vous voudrez lire les documents suivants :
L’aspect économique
Finalement, des chercheurs ont testé des méthodes d'estimation des coûts des lésions professionnelles et produit un portrait de ces coûts dans le secteur minier du Québec, pour la période 2005-2007.